Martin(i)
8 C'est qu'il y a tel qui est seul, et qui n'a point de second, qui aussi n'a ni fils ni frère, et qui cependant ne met nulle fin à son travail; même son œil ne voit jamais assez de richesses, et il ne dit point en lui-même : Pour qui est-ce que je travaille, et que je prive mon âme du bien ? Cela aussi est une vanité, et une fâcheuse occupation.